Publicité
et développement durable
Afin
d’écrire ce billet, je me suis intéressée au document « PUBLICITÉ ET DEVELOPPEMENT DURABLE - BROCHURE
ET ENQUETE DELPHI - S264 » que nous avions à lire dans la séance du 12 mars sur
les enjeux de
la publicité et de la communication du risque. Vous pouvez accéder
au document en cliquant sur ce lien : http://www.oivo-crioc.org/files/fr/2023fr.pdf.
Dans
l’introduction de ce texte, l’auteur explique qu’il existe deux écoles de
pensée par rapport à la publicité. Il y a ceux qui font partie du milieu
économique et qui trouvent que cette pratique est essentielle à toute société,
puis il y a les gens qui s’y opposent parce qu’ils trouvent que c’est malsain.
Pour ma part, je crois me situer entre les deux. Comme j’étudie dans le domaine
des communications, je suis assez renseignée sur ce métier, donc je suis en
mesure de dire que c’est une profession tout à fait valable, nécessaire et
captivante pour ses professionnels. Par contre, ce n’est pas pour rien que je n’ai
pas choisi cette branche des communications comme choix de carrière. En fait,
j’ai également une certaine appréhension face à la publicité en général. Même
si elle peut être faite de façon très professionnelle, je considère qu’elle
sert trop souvent à attraper les gens.
Du
moins, je trouve que ce projet d’étude est très intéressant. Le fait de
synthétiser les opinions et positions dans un contexte conflictuel rend le
débat beaucoup plus valable et structuré. En fonctionnant ainsi, chaque parti
doit prendre la peine d’entendre et d’analyser la position des autres parties
et cela aide assurément à arriver à un consensus. De plus, le simple fait de
regrouper les idées qui convergent aide à faire réaliser aux différents partis
qu’ils sont d'accord sur certains points. Autrement, ils retiendraient sûrement
davantage les divergences entre leurs idées.
J’aurais
eu tendance à penser que cette étude aurait été presque inutile en lisant que
les résultats ne faisaient que confirmer la tendance qui était déjà observable
avant d’enclencher les recherches. Par contre, de savoir qu’il y a eu consensus
sur au moins cinq propositions alors qu’on ne réussissait jamais à en établir
auparavant fait de cette étude une réussite en soi. Comme il y a eu des débats
avant de pouvoir en arriver à ces consensus qui n’étaient vraiment pas établis
d’avance, je trouve qu’il faut resté optimiste en ce qui concerne l’influence
de la publicité sur la consommation. Les règlementations en publicité
souhaitées par certains ne seront sans doute pas acquises du jour au lendemain,
mais grâce à d’autres projets de ce genre, je pense qu’un terrain d’entente
entre les deux groupes mentionnés plus tôt pourra être développé à long terme.
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