dimanche 23 mars 2014

Publicité et développement durable


Publicité et développement durable

Afin d’écrire ce billet, je me suis intéressée au document « PUBLICITÉ ET DEVELOPPEMENT DURABLE - BROCHURE ET ENQUETE DELPHI - S264 » que nous avions à lire dans la séance du 12 mars sur les enjeux de la publicité et de la communication du risque. Vous pouvez accéder au document en cliquant sur ce lien : http://www.oivo-crioc.org/files/fr/2023fr.pdf.

Dans l’introduction de ce texte, l’auteur explique qu’il existe deux écoles de pensée par rapport à la publicité. Il y a ceux qui font partie du milieu économique et qui trouvent que cette pratique est essentielle à toute société, puis il y a les gens qui s’y opposent parce qu’ils trouvent que c’est malsain. Pour ma part, je crois me situer entre les deux. Comme j’étudie dans le domaine des communications, je suis assez renseignée sur ce métier, donc je suis en mesure de dire que c’est une profession tout à fait valable, nécessaire et captivante pour ses professionnels. Par contre, ce n’est pas pour rien que je n’ai pas choisi cette branche des communications comme choix de carrière. En fait, j’ai également une certaine appréhension face à la publicité en général. Même si elle peut être faite de façon très professionnelle, je considère qu’elle sert trop souvent à attraper les gens.

Du moins, je trouve que ce projet d’étude est très intéressant. Le fait de synthétiser les opinions et positions dans un contexte conflictuel rend le débat beaucoup plus valable et structuré. En fonctionnant ainsi, chaque parti doit prendre la peine d’entendre et d’analyser la position des autres parties et cela aide assurément à arriver à un consensus. De plus, le simple fait de regrouper les idées qui convergent aide à faire réaliser aux différents partis qu’ils sont d'accord sur certains points. Autrement, ils retiendraient sûrement davantage les divergences entre leurs idées.

J’aurais eu tendance à penser que cette étude aurait été presque inutile en lisant que les résultats ne faisaient que confirmer la tendance qui était déjà observable avant d’enclencher les recherches. Par contre, de savoir qu’il y a eu consensus sur au moins cinq propositions alors qu’on ne réussissait jamais à en établir auparavant fait de cette étude une réussite en soi. Comme il y a eu des débats avant de pouvoir en arriver à ces consensus qui n’étaient vraiment pas établis d’avance, je trouve qu’il faut resté optimiste en ce qui concerne l’influence de la publicité sur la consommation. Les règlementations en publicité souhaitées par certains ne seront sans doute pas acquises du jour au lendemain, mais grâce à d’autres projets de ce genre, je pense qu’un terrain d’entente entre les deux groupes mentionnés plus tôt pourra être développé à long terme.

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