Êtes-vous
introvertis ou extravertis? Les employeurs, eux, se posent une question lors de
l’embauche d’un candidat? Dans le cas des introvertis, est-ce un frein? Dans le
domaine de la communication, est-ce possible d’être introverti et de rivaliser
avec un extraverti? Dans un baccalauréat en communication, accessible à
quasiment tout le monde, où nous sortons tous avec le même papier, comment se
démarquer? Est-ce qu’un manque d’impulsivité peut nuire à une carrière?
Par définition,
le contact social et/ou le « small talk» ne conviennent pas nécessairement à
une personne introvertie. La plupart du temps une telle personnalité est
qualifiée de « gênée», voire antisociale. Ce n’est néanmoins pas toujours le cas
(j’imagine que ça peut tout de même être réellement le cas), ce sont des gens
qui en fait écoutent, observent, prennent des notes mentalement, et parlent seulement
lorsque nécessaire. Difficile de se démarquer, mais néanmoins possible, en
misant sur ses compétences, d’abord et avant tout, selon moi. Ces gens, souvent sous-estimés, ont
tout autant à offrir, seulement peut-être pas au premier contact.
Je suis
récemment tombée sur un livre de Susan Cain, une ancienne avocate qui donne
maintenant des conférences sur le sujet. Dans son ouvrage, Quiet : The power of introverts in word that can’t stop talking, elle explique que c’est
possible de « réussir», sans nécessairement parler plus fort que les autres. Je
continuerai ma réflexion une fois que j’aurai terminé le livre.
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