jeudi 30 septembre 2010

Quand l'éthique rime avec Chic!

Dans l'édition du Soleil d'aujourd'hui, une petite brève mentionne que durant la semaine de la mode il y a une conférence sur les collections québécoises éthiques. Ma réaction spontanée a été: la mode un univers qui peut paraître très superficielle propose aussi des vêtements éthiques, ah oui! Est-ce que la mode peut être éthique même si elle incite des débats idéologiques entourant l'image de la femme? Je pousse peut-être un peu loin, mais cela m'a effleuré l'esprit.

Je me suis surtout demandée, ce que signifie un morceau de vêtement éthique? Je n'ai pas eu de réelle réponse, car lorsqu'on lit la brève il y a seulement mention que ce sont des créations écologiques. Est-ce que écologie rime forcément avec éthique? Je me demandais si le terme éthique était vraiment approprié pour décrire ces vêtements. Je n'ai pas tellement poussé ma réflexion plus loin, car c'est un univers qui m'ait peu familier. Mon jugement serait fondé sur peu d'information. J'aimerais savoir ce que vous en pensez.

Pour découvrir des marques de mode éthique, vous pouvez visiter ethiquette.ca et chercher de l'information sur le Salon de la mode éthique montréalais Modethik.

lundi 27 septembre 2010

l'éthique d'une religion

Cet été, j’ai lu un livre qui s’intitule au nom du père et du fils, écrit par Francine Ouellette. Malgré les apparences du titre, ce livre n’est pas un livre religieux. Il nous fait plonger plus de cent ans en arrière. Soit de 1884 à 1923. Ce livre pousse nos réflexions sur des sujets biens réels, mais auxquels nous n’aurions jamais pensé réfléchir puisqu’ils ne sont plus d’actualité. Au nom du père et du fils met en perspective différentes valeurs de la religion catholique véhiculées à cette époque. Il raconte l’histoire de plusieurs familles qui sont venues s’installer au Québec tout en repoussant les indiens de plus en plus loin. Comment les gens vivaient en fonction de la religion au détriment de leurs propres valeurs et cela, bien au-delà de ce que nous imaginons. Ce qui est intéressant, c’est que l’auteure relate également la façon de penser de la famille indienne, qui demeure présente tout au long de l’histoire, et garde une écriture assez objective.

L’histoire tourne principalement autour d’un amour impossible entre un médecin catholique marié ayant 4 enfants et une jeune indienne vivant dans les bois, aux frontières du village. Cet amour donnera naissance à un enfant qu’on qualifiera de « batard ». Malgré toute la bonne volonté et toutes les bonnes valeurs du père médecin, la pression religieuse sera encore plus forte. L’enfant grandira sous les regards honteux du village, sans connaître la véritable existence de son père.

C’est dans ce livre que nous pouvons constater toutes les failles éthiques de la religion catholique et tous les malheurs qu’elle a pu causer et qu’elle cause encore. Comment certaines valeurs et moralités de cette religion sont tellement souvent mentionnées mais si peu appliquées. Ce livre nous propose et bien souvent nous impose des choix moraux et éthiques qui sont, ma foi, assez bouleversants. On comprend les changements et l’évolution du système de valeurs québécoises d’aujourd’hui.

La religion a perdu la place qu’elle avait dans la société, mais en 2010, est-ce vraiment mieux ainsi ?

Ce livre m’a à la fois ému et scandalisé. L’autre question qu’on peut se poser est la suivante : Est-ce que dans plus de 100 ans, lorsque nos arrières petits-enfants liront des livres des années 2000, relatant des faits de notre époque, ceux-ci seront encore plus scandalisés par nos façons de faire et nos façons de penser ?

« Quebec, the most corrupt province in Canada »


Cette semaine, la page couverture et l’article paru dans le magazine Maclean’s ont fait jaser. La page couverture affiche « Quebec, the most corrupt province in Canada » ainsi qu’une image du bonhomme Carnaval. Tout d’abord, plusieurs analystes (TVA et autres) ont fait mention que les données du magazine n’étaient nullement scientifiques. Ainsi, aucune étude ne permet de dire que le Québec est, en comparaison avec les autres provinces, la plus corrompue. Point un. De plus, aucune autre province n’a été comparée, à croire que ces accusations viennent des airs. Point deux. Par la suite, l’image de Bonhomme avait été demandée au Carnaval, mais il n’avait jamais été mentionné qu’elle serait utilisée pour représenter le Québec, ce qui peut nuire à son image partout dans le monde. D’autant plus qu’elle a été caricaturées en lui ajoutant une mallette pleine d’argent. Point trois. De plus, ce n’est pas la première fois que ce magazine se permet de publier des articles créant un tel engouement. Point quatre.


Bref, il va sans dire que les méthodes utilisés par le magazine Maclean’s ne sont pas très bien vues par la population québécoise. C’est inacceptable qu’une compagnie journaliste présente un article qui n’est pas fondé sur des références acceptables, qui utilise une image corporative pour représenter certains déboires prétendus d’une province et qui, de surcroit, modifie cette image sans consentement ! En fait, comment se fait-il qu’ils n’aient aucune gêne à mentir aux gens de cette façon ? Je ne suis même pas étonnée que le Carnaval est mis une firme d’avocats sur le dossier.


Cette semaine, le magazine d’affaires a fait une clarification concernant l’usage de l’image de Bonhomme, mais est-ce suffisant ? Je ne crois pas non.


CLARIFICATION: The cover of last week’s magazine, with the headline “The Most Corrupt Province in Canada,” featured a photo-illustrated editorial cartoon depicting Bonhomme Carnaval carrying a briefcase stuffed with money. The cover has been criticized by representatives of the Carnaval de Québec, of which Bonhomme is a symbol.

While Maclean’s recognizes that Bonhomme is a symbol of the Carnaval, the character is also more widely recognized as a symbol of the province of Quebec. We used Bonhomme as a means of illustrating a story about the province’s political culture, and did not intend to disparage the Carnaval in any way. Maclean’s is a great supporter of both the Carnaval and of Quebec tourism. Our coverage of political issues in the province will do nothing to diminish that support.


Le Québec attend toujours des excuses.


Tout cela pour dire que je trouve désolant ce genre de comportement chez un média d’envergure. Et je ne suis même pas intéressée à savoir si oui, peut-être, le Québec est corrompu. Je ne veux pas partir de débat sur ce sujet. Ce qui m’intéresse plutôt, c’est la façon qu’a utilisé MacLean’s pour en parler.


Qu’avez-vous à dire sur le sujet ? car je crois que c’est un sujet qui peut en interpeller plus d’un.



* Je vous invite à lire le texte en entier sur le site du magazine pour voir de quoi il est réellement question.



Texte entier :

Maclean’s.ca. 2010. Quebec : The most corrupt province (Why does Quebec clains so many of the nation’s political scandals ?) En ligne. 24 septembre. . Consulté le 27 septembre 2010.

Problème éthique ou politique

Sarkosy offre de l’argent aux gitans, les Roms, qui s’établissent en France, pour qu’ils puissent retourner dans leur pays. Seulement, son geste est comparé à la déportation qui a eu lieu durant la deuxième Guerre mondiale. Il faut se demander dans cette situation le fondement de ce geste. Dans le livre de Roger-Pol Droit, il est dit que l’éthique « c’est d’abord la question des autres, le souci que nous avons de leur existence, de leurs désirs et de leur liberté. » (2009 : 43) Sachant que les Roms ont un visa de quelques mois et que la France ne leur accordera éventuellement pas de permis de travail, il est intéressant de s’interroger sur la meilleure solution possible. Quel est le motif qui pousse Sarkozy à demander aux Roms de retourner dans leur pays ?

D’un coté, les Roms forment des ghettos et il est vrai que cela peut déplaire aux citoyens français. Dans ce cas, Sarkozy s’intéresse aux désirs et à l’existence des citoyens français. D’un autre coté, ce geste peut nuire à la liberté des Roms ainsi qu’à leurs désirs. En effet, avec l’union européenne, tout le monde devrait avoir la possibilité de circulé librement. J’avoue que je n’ai pas suivi de près ce dossier, mais je me demande tout de même qu’est ce qui motive Sarkosy à faire ce geste ? Est-il davantage en train de résoudre un problème éthique ou politique ?

Grande-Bretagne - À chien de garde, chien de garde et demi | Le Devoir

Évocation d'un organisme qui surveille les tendances au sensationnalisme du journalisme

Grande-Bretagne - À chien de garde, chien de garde et demi | Le Devoir

dimanche 26 septembre 2010

Who's watching Watchmen?

Dans la même lignée que l’intervention de Steve Richer, avez-vous vu le film : «Watchmen » ? Il présente tant de dilemmes éthiques que s’en ai étourdissant. En bref, c’est un film de super héros (Watchmen) qui ont toutes sortes de défauts, faiblesses; qui sont plein d’humanité dans son beau et son laid. Ils sont les mieux placés pour savoir que l’Homme est mauvais car ce n’est ce qu’ils voient. Certains perdent la foi en l’Humain et veulent laisser le monde s’autodétruire avec les bombes nucléaires. (années 80, URSS/US)

Ces hommes commettent des atrocités avec leur force : un des super héros tue une femme enceinte avec qui il a eu une aventure, il va tuer des manifestants qui utilisent la violence… Ils font ce qu’ils veulent sans conséquence. Quand un commet une atrocité à un certain point, un camarade lui dit que ce qu’il a fait n’est pas bien. Il lui répond : Tu n’as rien fait pour m’en empêcher donc tu n’es pas bien placé pour me faire la morale… On en vient au même principe vu dans le cours qui dit qu’on témoigne de nos valeurs par nos actions ou nos inactions…

Les gens commencent à se poser la question : Who’s watching Watchmen? (Qui surveille ces super héros qui sont sensés veiller sur nous?)

Je ne veux pas dire la fin, mais en gros (et rassurez-vous ce n'est pas le punchline), quelqu’un va tuer des millions de personnes dans le but d’en sauver des billions. C’est si choquant! Mais le monde évite une guerre nucléaire, et le monde devient en paix… Je ne sais plus quoi en penser.

J’aimerais avoir l’opinion des gens qui ont vu le film…

Myriam

jeudi 23 septembre 2010

Nos valeurs dans le temps

"Dénoncer ou non celui qui a fait une bêtise ou provoquer une catastrophe" Cette citation tirée du livre "L'éthique pour tout le monde" illustre bien le film "Le diamant de sang" avec Léornardo Dicaprio. Dans l'histoire le personnage de Léornardo fait face à plusieurs enjeux éthiques. Il joue le rôle d'un important trafiquant de diamants. Le trafic provoque des guerres dans ce pays sous développé. Ce personnage doit décider de dénoncer les acheteurs corrompus ou continuer le trafic. Durant sa quête, il entend parler d'un diamant très rare qu'un paysan aurait trouvé. Il s'associe avec le paysan. Ce dernier voulait retrouver sa famille tandis que Léonardo voulait le diamant. Durant un grande partie du film, il croyait faire le bien en aidant l'homme a retrouvé les gens qu'il aime. À la fin du film, il décide de dénoncer les corrompus et rendre la pierre à l'homme. Dans la tête de l'acteur, un très long cheminement moral s'est produit. Plusieurs personnes ont contribué à cette évolution et ce changement de valeurs. Ses gestes ont permis l'arrestation de plusieurs américains. Ses gestes ont contribué à mettre un terme à plusieurs guerres.
Deux questions liées au cours le hantaient durant le film. "Que dois-je faire et comment dois-je agir? La différence entre le bien et mal pour celui-ci était très différente de celle du paysan. Ce dernier a beaucoup contribué au changement de valeurs chez Dicaprio. Pour être heureux, le paysan voulait uniquement retrouver sa famille. Tandis que pour Léonardo, le bonheur n'est jamais atteint. Aucune pierre ou somme d'argent ne pouvait le combler. L'amour, l'amitié n'avaient aucune valeur ou satisfaction pour lui. Le paysan voyait le malheur que provoquait les guerres et le trafic de diamants. Dicaprio ne s'y attardait pas. Une fois, ce dernier affirme clairement croire qu'il provoque le bonheur et non le malheur par le trafic. Il croit aider les américaines en leur offrant des diamants. Il croyait faire le bien.
En fait, les valeurs et règles sont bien différentes d'une culture à l'autre, d'un moment à l'autre. Un consensus est parfois impossible à réaliser. Toutefois, c'est grâce à ces différentes valeurs et éthiques que l'on peut mieux juger du bon et du mal. Il est important de toujours remettre en doute nos actes et valeurs. Il est important que d'autres individus nous remettent en doute également. Il faut être ouvert et prêt à évoluer. En remettant toujours en doute les gestes et valeurs de l'acteur, le paysan et la journaliste ont permis à celui-ci de percevoir le monde d'un nouvel oeil, d'évoluer et de changer ses valeurs.

Étirer la sauce par les cheveux...

Les spots télé des rôtisseries Saint-Hubert qui font une symbiose avec une personnalité connue qui verse son cachet à un organisme sont géniaux. Les valeurs véhiculées par la marque et les "vedettes" leur donnent une bonne crédibilité.

Par contre, la dernière m'a choqué. On utilise une personne, le dessinateur Claude Robinson qui a été copié et floué par Cinar, dont sa popularité s'est développée à ses dépens. J'ai trouvé de mauvais goût l'idée d'accaparer l'élan de sympathie populaire envers cet homme pour vendre du poulet.

Par surcroît, le spot commence par ce qui semble être un placement de produit (ou du moins de nom) pour F. Forgues et associés avocats. Enfin, le cachet a été versé à la Fondation du Dr Julien... Bref, si l'on ajoute la "cause Robinson", un même spot tend à donner de la visibilité et de la sympathie à quatre entités sur le dos d'une injustice.

Suis-je seul à ne pas être complètement à l'aise avec cette publicité d'une campagne qui était jusqu'alors irréprochable ?

mercredi 22 septembre 2010

Ma vie pour la tienne : l'éthique à l'américaine

L'année dernière, j'ai loué un film tout ce qu'il y a de plus américain, Ma vie pour la tienne (My sister's keeper), mettant en vedette Cameron Diaz. Bien franchement, ce film m'a beaucoup fait réfléchir. Les critiques n'ont pas été très élogieuses et plusieurs journalistes ont dit qu'il n'aurait pas dû être réalisé à Hollywood en raison de son énorme potentiel et de la profondeur du sujet traité. Je ne sais pas si vous l'avez vu, mais le sujet principal est présentement débattu et il s'avère, à la limite, un peu perturbant : le bébé-médicament.



Pour faire un court résumé, l’histoire présente une petite fille, Kate, qui reçoit un diagnostic de leucémie à l’âge de deux ans. Ses parents sont sous le choc. En se fiant aux conseils des médecins, ils conçoivent génétiquement une autre fille, Anna, qui est 100% compatible avec Kate. Elle peut donc donner des cellules ou des organes à sa sœur pour des greffes. La mère met donc sa carrière d’avocate en veille et consacre ses journées à sa fille malade, laissant de côté Anna et son frère Jesse. À l’âge de 11 ans, Anna décide de poursuivre ses parents afin d’obtenir une émancipation médicale pour préserver son intégrité physique. Le côté légal est rapidement laissé de côté pour le côté éthique. « Alors que la mère désire sauver Kate par tous les moyens possible, notamment affronter sa fille en cour, le père est beaucoup plus enclin à laisser Anna prendre une décision importante sur son propre corps. Évidemment, simplement le fait de prendre la décision de faire un enfant pour avoir des pièces de rechange pour un autre enfant amène un questionnement éthique en soi. » (Menzonet, 2009 : en ligne)



Malgré que ce soit le sujet d'un film fictif, les « bébés-médicaments » existent réellement. « La sélection de cellules in vitro avec diagnostic préimplantatoire […] a été autorisée en France par les lois de bioéthique de 2004. » (Rue 89, 2009 : en ligne) Je suis en faveur des traitements de fécondité qui servent à aider les parents qui ont de la difficulté à avoir des enfants. Cependant, bien que je crois que personne sur terre ne mérite d’être malade, je trouve plus difficile de me positionner sur le fait de «créer» des enfants afin qu’ils soient génétiquement compatibles pour que des cellules ou des organes leur soient prélevés pour aider d’autres personnes. Je crois qu'aucun enfant ne devrait être créé dans le but de subir de multiples opérations. Par contre, peut-être que je verrais la chose autrement si j'étais la mère d'un enfant malade... Qu’en pensez-vous ?



Pour voir la bande-annonce :
http://www.rue89.com/la-bande-du-cine/2009/09/09/ma-vie-pour-la-tienne-ou-la-revolte-du-bebe-medicament


Pour en apprendre plus sur les bébés-médicaments :
http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9b%C3%A9-m%C3%A9dicament



Sources :


Menzonet. 2009. «
My sister's keeper (Ma vie pour la tienne) ». En ligne. <
http://www.menzonet.org/detail_blog.php?idBlog=3781-1&back=index.php&params=offset%7C0,page%7C0 >. Page consultée le 22 septembre 2010.


Rue 89. 2009. « Ma vie pour la tienne ou la révolte du bébé-médicament ». En ligne. <
http://www.rue89.com/la-bande-du-cine/2009/09/09/ma-vie-pour-la-tienne-ou-la-revolte-du-bebe-medicament >. Page consultée le 22 septembre 2010.

La peine de mort

La peine de mort

La peine de mort est un sujet qui me fait énormément réfléchir. Doit-on légaliser la peine de mort ? Les avis sont souvent très partagés sur le sujet. Mon propre jugement sur le sujet change parfois aussi, selon les évènements auxquels j’assiste ou selon l’actualité.
Lorsque je vois des violeurs, des pédophiles, des meurtriers, des gens qui sont entrés par effraction chez de pauvres innocents, je vous avoue que je suis pour la peine de mort. Mon opinion est la même lorsque je vois que d’anciens criminels ont refait un crime et brisé la vie de plusieurs personnes par le fait même.

Alors, je me questionne à savoir si ce que je pense a du sens. Je viens de dire que je tuerais les meurtriers, or, si j’avance ceci, cela revient à dire que ceux qui infligeraient la mort aux condamnés à mort devraient eux aussi être condamnés…

Je pousse un peu mon raisonnement, mais je trouve que ceci est un débat très important.

Cela revient aussi à aborder le sujet des proches des victimes de crimes. J’ai récemment écouté un film très touchant, Law Abiding Citizen, qui met en vedette Gerard Butler. C’est l’histoire d’un homme qui assiste au meurtre et au viol de sa fille et de sa femme, lorsque des individus entrent chez lui par effraction. Un des suspects s’en sort avec une sentence minime en échange d’un témoignage. Fâché par le système de justice, l’homme se rend à l’endroit où l’un des deux suspects est condamné à la peine de mort et modifie le système d’injection. Celui-ci meurt dans d’atroces souffrances. Il se charge ensuite de l’autre suspect en l’enlevant et en le torturant.

Je ne sais pas si cela est éthique. En pensant selon le système de préservation de la vie humaine, je dirais que cela n’est pas éthique. Or, si cette situation m’arrivait, c’est-à-dire que mon enfant ou des membres de ma famille se feraient tuer sous mes yeux, je crois que je penserais moi aussi à torturer le meurtrier.

Et vous qu'en pensez-vous?

lundi 20 septembre 2010

À quel point le bonheur de la majorité est important ?

Certains principes de l’utilitariste m’ont intrigué. Tout d’abord, l’utilitarisme se résumé ainsi : « Agis toujours de manière à ce qu'il en résulte la plus grande quantité de bonheur (principe du bonheur maximum) ». Si la majorité des gens sont heureux d’une situation, est-ce que cela signifie qu’elle est positive et que c’est une bonne décision qui a été prise?

Cela me fait énormément penser à un ancien compagnon de travail. Nous travaillions alors avec un groupe de 40 jeunes, dans un endroit où on retrouvait au total environ 200 jeunes. L’homme en question semblait vraiment penser selon l’utilitarisme. Son but, durant tout l’été, était de plaire à la majorité des jeunes et que ceux-ci aient du plaisir en tout temps. Je crois que cela peut être valeureux, cependant j’y met un «mais». Parce que cela apportait également son lot de conséquences. Puisque nous vivions sur un camp d’été, il était nécessaire de respecter certaines règles de vie en groupe, par exemple, les heures de coucher, les permissions de sortie, ne pas faire de favoritisme et j’en passe. Pourtant, il arrivait souvent que le monsieur en question laissait certains jeunes se coucher plus tard, sortir alors que normalement ils n’ont pas le droit sur le camp, etc. Bien évidemment, les jeunes eux, étaient très content. Mais pour le reste de l’équipe d’adultes qui les surveillait et pour les responsables du camp, c’était très contrariant. (40 adolescents contents > que quelques adultes mécontents, donc = plus de bonheur?) Si on peut laisser certains jeunes sortir, alors pourquoi pas les laisser sortir tous? Voilà pourquoi je crois que certaines règles existent. Pas pour contrarier des gens, mais plutôt pour assurer un certain niveau de vie égal pour tous et sécuritaire. Et ce n’est pas parce qu’il y a des règles qu’il faut être malheureux.

Je me demandais alors à quel point cette forme de réflexion éthique était valable, et à quel point il est important de faire le plus de bonheur autour de soi. On en a parlé lors du deuxième cours, la vie humaine est faite de souffrances, aussi minimes qu’elles soient.

Croyez-vous qu’il faut que le plus de gens soient heureux après une décision ? Avez-vous déjà vécu pareille situation ?

Tu ne tueras pas

Hier soir, j’ai regardé un film qui s’intitule : Impensable. Un très grand questionnement éthique ressort de ce film. Jusqu’où devons-nous aller pour obtenir des informations?

Dans «Impensable», un homme, fervent partisan islamique, envoie une cassette à l’État américain, où il explique l’attentat terroriste qu’il va commettre. L’homme en question, M.Younger, avoue avoir placé 3 bombes atomiques dans 3 grandes villes américaines. L’État américain va donc en venir à torturer physiquement M.Younger pour que ce dernier dévoile où sont cachées ces bombes. M.H, l’homme qui torture Younger va même jusqu’à tuer la femme du terroriste devant ses propres yeux, mais Younger ne parle toujours pas. Ensuite, M.H va commettre l’impensable… il se prépare à torturer les jeunes enfants de Younger qui sont âgés d’environ 7 ou 8 ans.

Alors, voilà la question qui est posée… ou plutôt les questions. La torture est-elle un moyen efficace? Justifiable? Doit-on sacrifier les vies des membres d’une famille pour sauver environ 30 millions d’Américains? Quel est le bon choix à faire? Y a-t’il d’autres moyens d’obtenir l’information?

Faites-nous part de vos réflexions!!!

le "suicide" assisté

Le Québec fait face à une autre grande question fondamentale…mais est-elle si fondamentale que ça? Le débat sur l’euthanasie assistée, aussi connu sous le droit à mourir dignement, me dérange beaucoup. En tant que communicatrice, je connais bien l’importance du choix des mots dans les discours. Cependant, peut importe le choix des mots, les faits restent des faits, et dans ce cas, la réalité est qu’on parle de la légalisation d’une assistance au suicide. J’ai deux points dont j’aimerais discuter : la cohérence et l’apprentissage des erreurs.

Je prône ici la cohérence dans les pensées et les actions. Il a été prouvé que la souffrance des gens qui sont en phase terminale du cancer par exemple, n’est pas principalement physique (avec la morphine et les antidouleurs), elle est davantage psychologique. Je consens que cette douleur doit être inimaginable pour vouloir mettre fin à sa vie, mais il ne fait pas oublier qu’il y a des jeunes et des adultes de tous les âges (pas du tout malade) qui ressentent cette douleur et ce désespoir au point de se suicider. En amenant le débat sur l’euthanasie assistée, on amène nécessairement le débat sur le suicide. Qui est-ce qui est POUR le suicide? Comment gérer le cauchemar après une législation si quelqu’un aide son meilleur ami à se pendre? Ce sont pourtant les mêmes arguments de souffrance et de délivrance qu’on entend dans ce débat. La souffrance psychologique peut être soulagée. Il ne faut pas que l’excuse d’être malade nous enlève ce désir d’aider ces gens qui sont au désespoir. Que ferions-nous si un jeune venait nous voir, nous racontait ses souffrances et nous demandait de l’aider à en finir? En tout cas, moi je voudrais le convaincre que chaque seconde de la vie vaut la peine d’être vécue…

Prenons l’exemple la législation de l’avortement. Il a été légalisé parce que le débat s’est passé autour d’exemples extrêmes tel que la jeune fille violée par son père, ou dans le cas où l’église qui priorisait le bébé au détriment de la mère qui pouvait en mourir… Des exemples très véridiques et légitimes. Mais regardons la situation de l’avortement aujourd’hui : le nombre d’avortements ne cesse d’augmenter et la majorité de cette clientèle est la femme entre 20 et 30 ans qui est aux études ou en début de carrière. Un grand nombre de femmes se fait avorter à répétition. L’avortement est devenu un choix, un moyen de contraception. Je ne continue pas sur cet exemple, mais la conclusion, la voici : Peu importe le nombre de personnes qui va pleurer devant le tribunal pour convaincre tout le monde qu’il souffre au point de vouloir mourir, une légalisation de l’acte va apporter plus de problèmes d’éthique que jamais. Un meurtre pour l’héritage? Des soins qui coûtent trop chers? Une personne qui ne veut pas être un fardeau pour la famille? (j’ai l’impression que c’est souvent les proches qui souffrent plus que les malades…) Si le débat concerne davantage les coûts liés aux soins des personnes âgées et à la population vieillissante, eh bien, recommençons à zéro avec les véritables enjeux.

Bref, le débat se passe maintenant, faites-vous entendre! Après il sera trop tard…
Myriam Roberge-Dion

vendredi 17 septembre 2010

Harper, Teneycke et Péladeau: relations incestueuses?

Depuis quelque temps, un débat fait rage concernant la nomination d'un proche de Stephen Harper au sein du conseil d'administration de Quebecor Media. En effet, peu de temps après avoir quitté son poste au gouvernement, Kory Teneycke, ancien directeur des communications du Premier ministre, fut embauché à titre de vice-président au développement de l’entreprise médiatique. À la fois, il devenait grand patron de Sun TV News, canal d'information et d’opinion conservatrice.

Parallèlement à cela, il importe de souligner que Stephen Harper s'intéresse à ce dossier depuis un certain temps. D’une part, en juillet dernier, des notes de synthèse lui ont été envoyées concernant les doléances de Quebecor Media au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). D’autre part, Harper avait rencontré subrepticement le propriétaire de Fox News Rupert Murdoch et son président, Roger Ailes en mars 2009. Kory Teneycke, à ce moment directeur des communications du Premier ministre Harper, participait à cette réunion, peu de temps avant d'être engagé par Quebecor.

Dans une telle situation, il appert qu’une telle promiscuité du monde politique et médiatique peut remettre en cause l'impartialité du CRTC, tribunal administratif et système de réglementation normalement indépendant et protégée de toute ingérence politique. Conséquemment, une situation pareille peut soulever des doutes notables dans l'esprit du public, surtout qu’à cet instant, les entretiens entre les protagonistes se font sans-gêne.

Liens: http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/technologies-et-telecommunications/fox-news-canadien-pierre-karl-peladeau-a-multiplie-les-rencontres-a-ottawa/515701

jeudi 16 septembre 2010

Publicité et médicaments

Une réflexion intéressante sur la publicité et les médicaments

Canadian Health Coalition (PharmacareNow.ca)

Milgram, près de 50 ans plus tard

Le Jeu de la mort, un documentaire produit l'an passé en France, sera bientôt à l'affiche dans les grands écrans québécois. Il a suscité son lot de débats et de controverses puisqu'il reprend ni plus ni moins les expériences de Stanley Milgram sur l'obéissance. La nouveauté que soulève cette version de l'expérience, c'est qu'elle s’interroge sur la télévision en tant que source d'autorité plutôt que la science (dans le cas de 1960-63).

C'est du développement mondial des reality shows et des jeux télévisés de plus en plus sordides qu'est venue l'idée d'appliquer l'expérience de Milgram à un studio de télévision. Tous les éléments de l'expérience originale sont présents (questionnaire, fausses décharges électriques, un comédien qui supplie graduellement d'arrêter et une autorité qui demande de continuer), mais le sarrau a été remplacé par un micro tandis que des cameramans et un public bidon ont été ajoutés.

63 % des Français utilisés dans ce documentaire auraient été trop loin dans leurs décharges électriques. Depuis le tournage, les cobayes auraient, selon l'entrevue diffusée à Salut Bonjour ce matin, rigoureusement été suivis par des psychologues et bon nombre d'entre eux se considèrent chanceux d'avoir eu cette chance d'en apprendre davantage sur eux et d'adapter leur vision du monde.

Bref, ce sera accessible ici bientôt. Pour se faire une meilleure idée; http://www.youtube.com/watch?v=G1i8bZrXLqU .

dimanche 12 septembre 2010

NYTimes: Is This America?

From The New York Times:

OP-ED COLUMNIST: Is This America?

Bravo to those religious leaders who are fighting the anti-Islam frenzy.

http://nyti.ms/bIk17y

samedi 11 septembre 2010

Obéir à la loi ou protéger ses sources?

Dans le cours de mercredi dernier, on a parlé d'un chercheur qui était troublé par un problème d'éthique. Ce chercheur étudiait l'euthanasie.

Dans le cadre de ses recherches, une source, à qui il avait promis la confidentialité, lui a confié qu'elle avait aidé quelqu'un à s'enlever la vie. L'euthanasie étant une pratique illégale au Canada, le chercheur est confronté avec un grand dilemme: Doit-il obéir au loi et dénoncer sa source ou doit-il respecter sa promesse et ne rien dire?

Mme Florence Piron a alors assumé que pour elle, le choix était clair, il fallait dénoncer la source et obéir aux lois. Je dois dire que je n'en suis pas aussi convaincue.

Prenons, par exemple, le cas de Daniel Leblanc, journaliste connu pour avoir exposé au grand public le scandale des commandites. C'est grâce à sa source, "Ma Chouette" que nous en avons été mis au courant. La Cour obligeait M. Leblanc à dévoiler l'identité de sa source, ce qu'il n'a pas fait, alors qu'il risquait une amende ou une peine d'emprisonnement. Il a finalement gagné sa cause et ce fut un grand pas pour la protection des sources en journalisme.

Si M. Leblanc avait décidé de dévoiler l'identité de sa source, qui oserait se confier à un journaliste? Si vous étiez coupable d'un crime ou tout simplement si vous aviez peur de représailles, vous n'iriez jamais parler à quelqu'un en qui vous ne pouvez pas avoir confiance. Et des informations comme celles sur le scandale tomberaient dans l'oubli à jamais.

Je crois donc qu'il faut protéger ses sources pour faire avancer la société. Les lois sont là pour être respectées, mais aussi pour être débattues et changées lorsqu'elles deviennent désuètes.

Informations diverses et formulaire de consentement pour les entrevues

Bonjour à tous,

  • J’ai mis une version pdf de la présentation du 8 septembre dans la section du plan de cours correspondant à cette date. Dites-moi si ça vous convient. Si oui, j’essaierai de faire la même chose pour les autres présentations, la veille du cours.
  • Si vous souhaitez visionner 2 chouettes vidéos réalisés par le groupe de la session dernière, je vous propose de venir mercredi à midi dans notre salle. Nous aurons le temps d’en regarder deux avant l’arrivée des conférencières. À la suite des conférences, vers 14h30, nous ferons le jeu numéro 2 en équipe. Puis, à 15h00, je serai disponible pour échanger avec les équipes qui le souhaitent sur les travaux à faire.
  • Je joins à ce courriel et je vais mettre sur le site un formulaire de consentement à présenter au moment des entrevues.
  • À propos des entrevues, voici l’entente avec le département (avec Jacques Blouin): Comme l’hiver dernier, les étudiants du cours Éthique de la communication publique , com3000A, de Florence Piron emprunteront au cours de la session une caméra MINI-DV pour des prêts de 24-48 heures à la fois.  On leur prête la série de caméras qui sont dans les grosses valises # 11 à 20.  Ils viendront ensuite me voir pour prendre rendez-vous pour faire leur montage.  Il faudra sûrement leur vendre aussi des cassettes mini-dv à 9$.  Nous recommandons d’utiliser des cassettes neuves de bonne qualité comme celles que nous vendons.
  • J’envoie de nouveau le fichier du journal de bord, que je n’ai pas réussi à mettre sur le site.
  • Si vous avez envie de vous impliquer dans un projet humanitaire, tout en faisant des relations publiques, le message qui suit vous intéressera sûrement: je m'appelle Charles Gaudreau et je suis le responsable du réseau universitaire de relations publiques sans frontières (RPSF), dirigé par Deanna Drendel. Nous sommes à la recherche de deux ou trois étudiants de 1er, 2e ou 3e cycles qui seraient intéressés à être représentants RPSF à l'Université Laval. Écrire à charles.gaudreau.1@umontreal.ca.
  • Voici un lien vers l’affiche de Mordillo dont je vous ai parlé en cours: http://www.philo5.com/Rire/Mordillo%20-%20Liberte%20de%20penser.htm

Quand des journalistes ont des scrupules - Éthique

Article dans Le Devoir de 11 septembre 2010

LE DEVOIR: Autodafé du Coran et auto-examen des médias

Stéphane Baillargeon 11 septembre 2010 Actualités internationales

Le projet du pasteur américain Terry Jones de brûler des exemplaires du
Coran aujourd¹hui, jour anniversaire des attentats du 11-Septembre, a
soulevé la colère des musulmans, ceux, entre autres, de la ville indienne de
Kolkata. Est-ce encore une fois, un peu beaucoup la faute aux médias?
Photo : Agence Reuters Le projet du pasteur américain Terry Jones de brûler
des exemplaires du Coran aujourd¹hui, jour anniversaire des attentats du
11-Septembre, a soulevé la colère des musulmans, ceux, entre autres, de la
ville indienne de Kolkata. Est-ce encore une fois, un peu beaucoup la faute
aux médias? L'attention médiatique portée au projet d'autodafé d'un
exemplaire du Coran par un obscur pasteur de la Floride force les médias
américains à faire un profond examen de conscience. Après tout, ils figurent
parmi les premiers responsables de cette nouvelle affaire politicoreligieuse
pour avoir accordé une trop grande couverture à un geste sciemment
provocateur.

Pour lire la suite:
http://www.ethique.com.ulaval.ca/index.php/Quand_des_journalistes_ont_des_scrupules

vendredi 10 septembre 2010

Une publicité commerciale qui cherche à faire réfléchir...

Une publicité (magnifique) qui vante un produit tout en faisant réfléchir à la pollution de l'environnement... Une réelle conscience environnementale ou un opportunisme efficace??

Pub smirnoff mer

jeudi 9 septembre 2010

Affiche de Mordillo sur la liberté de penser

Liberté de penser

Serais-tu "game" ?

Seriez-vous prêt/e à pousser votre liberté d'expression jusqu'à vous plaindre d'une publicité ?

En tant que communicateurs, nous sommes exposés à plusieurs publicités que nous jugeons choquantes, mais qu'en faisons-nous ?

Aussi, trouvez-vous que cette publicité, conçue par le Conseil d'éthique de l'industrie québécoise des boissons alcooliques, est efficace ?

mardi 7 septembre 2010

La famille Jones

J'ai récemment été agréablement surprise par un film lors de mon passage au club vidéo. Celui-ci s'intitule la Famille Jones.

Il a comme sujet principal les enjeux de la société de consommation et les démarches excessives de marketing de certaines entreprises. Comme quoi, on peut se faire berner dans notre quotidien sans même le savoir !

Je ne peux m'empêcher de me dire que des démarches comme la Famille Jones nous montre peuvent exister dans le monde réel ... jusqu'où sommes nous prêts à aller en tant que communicateur pour que notre produit, notre organisation se démarque auprès des consommateurs ?

Je ne vous en dis pas plus! Il ne faudrait tout de même pas dévoiler le punch :P!

Voici un lien vers un article intéressant sur le film :
Canöe. ca : http://fr.canoe.ca/divertissement/dvd/nouvelles/2010/08/12/15000766-qmi.html

jeudi 2 septembre 2010

Site du cours

Bonjour

L’adresse du cours est http://www.ethique.com.ulaval.ca et non http://ethique.com.ulaval.ca

Nous avons oublié de regarder les vidéos hier: on le fera le 15 septembre, après les conférences.

Dans votre journal de bord, j’aimerais que vous mettiez une photo de vous, pour m’aider à associer nom et visage...

Florence Piron

mercredi 1 septembre 2010

NYTimes: Maker of Botox Settles Inquiry

From The New York Times:
Maker of Botox Settles Inquiry
Allergan agreed to pay $600 million to settle charges that it
illegally promoted and sold Botox for unapproved uses.
http://nyti.ms/cSpo1g

Suivi de l'introduction au cours d'éthique de la communication publique

Bonjour

Voici le lien vers le site du plan de cours: http://ethique.com.ulaval.ca

J’ai mis à jour la page des équipes ( http://www.ethique.com.ulaval.ca/index.php/équipe ). Veuillez vérifier que tout est correct. Il manque une adresse courriel pour un porte-parole et les informations sur deux équipes (A2, sur le racisme et B3, sans sujet). Les équipes B7 et B8 n’ont pas choisi leur sujet. Il faut que les équipes sans sujet vérifient ce qui “reste” dans la liste des thèmes (dans le plan de cours) et m’écrivent à ce sujet dès qu’elles ont fait leur choix.

Vous verrez qu’il y a un déséquilibre entre la section A (4 équipes, 20 étudiants) et la section B (8 équipes, 40 étudiants). Si une ou deux équipes pouvaient passer dans la section A, ce serait très apprécié. J’attends des offres de la part des porte-parole. Sinon, à tour de rôle, deux équipes B iront dans la section A (sauf les étudiants qui ont cours de 11h30 à 12h30, bien sûr).  On fait tous des compromis pour que ce cours soit agréable!

Je vais mettre le fichier word du journal de bord sur le site dès demain. Je le mettrai aussi sur le blogue. La première section de ce fichier est celle que vous devez remplir en indiquant ce qu’est pour vous l’éthique de la communication. Mais je vous demande aussi de copier (anonymement) votre réponse dans le formulaire en ligne qui suit:
https://spreadsheets.google.com/viewform?formkey=dEhhMXYtMnNKc1hJU1dFcC1BN0xXdEE6MQ
Je pourrais ainsi tout de suite lire vos réponses et me servir d’elles pour le cours de la semaine prochaine.

Comme prévu, je mets aussi ce message sur le blogue.

Florence Piron

Bienvenue sur ce blogue-forum collectif

Vous devez accepter l'invitation que vous recevrez sous peu (à votre adresse ulaval) pour devenir contributeur ou contributrice au blogue. Vous pourrez ensuite rédiger un billet de blogue afin de lancer une discussion ou réagir avec un commentaire aux billets proposés par vos collèges. N'hésitez pas à mettre des mots clés dans la section "libellés".  Ne soyez pas timides et lancez-vous! C'est toujours passionnant.

À titre d'exemple, lisez cette discussion sur les enjeux éthiques d'un clip publicitaire.