Vous connaissez la pyramide de Maslow?
(Non? Oopsi …)
La voilà repensé.
Ce qui, à la base, devrait être une blague, m’amène à la réflexion.
Certes, c’est plutôt radical de dire qu’avant de subvenir a ses besoins de sécurité, l’humain pourrait avoir le réflexe de se connecter au WIFI …
Mais, au fond, de nos jours, n’est-ce pas totalement faux de dire que l’un vient souvent avec l’autre? C’est un peu triste comme constat, je trouve, mais bon.
Pour illustrer le tout, plaçons nous dans une situation de voyage.
Tu arrives … en Grèce. Il fait beau, c’est l’été. Tu mets le pied dans Athènes sans avoir vraiment prévu où tu allais passer la nuit ou même te nourrir…
Premier réflexe? De façon majoritaire (oui, il y a toujours exceptions), Internet viendra certainement s’imposer. On voit que la débrouillardise existe encore, mais qu’elle prend une toute autre forme…
Et s’il n’y a pas de WIFI ? Ben là, un autre type d’aventure commence pour vrai!
C’est là que les cartes en papiers ressortent (et se resserrent en étant JAMAIS pliés convenablement, on s’entend), que les yeux se lèvent sur les pancartes d’indications dans les rues et que tu vas peut-être être obligé de te perdre un peu, ou de jouer au mime avec un inconnu qui te comprendra a moitié.
La voilà repensé.
Ce qui, à la base, devrait être une blague, m’amène à la réflexion.
Certes, c’est plutôt radical de dire qu’avant de subvenir a ses besoins de sécurité, l’humain pourrait avoir le réflexe de se connecter au WIFI …
Mais, au fond, de nos jours, n’est-ce pas totalement faux de dire que l’un vient souvent avec l’autre? C’est un peu triste comme constat, je trouve, mais bon.
Pour illustrer le tout, plaçons nous dans une situation de voyage.
Tu arrives … en Grèce. Il fait beau, c’est l’été. Tu mets le pied dans Athènes sans avoir vraiment prévu où tu allais passer la nuit ou même te nourrir…
Premier réflexe? De façon majoritaire (oui, il y a toujours exceptions), Internet viendra certainement s’imposer. On voit que la débrouillardise existe encore, mais qu’elle prend une toute autre forme…
Et s’il n’y a pas de WIFI ? Ben là, un autre type d’aventure commence pour vrai!
C’est là que les cartes en papiers ressortent (et se resserrent en étant JAMAIS pliés convenablement, on s’entend), que les yeux se lèvent sur les pancartes d’indications dans les rues et que tu vas peut-être être obligé de te perdre un peu, ou de jouer au mime avec un inconnu qui te comprendra a moitié.
Ainsi, je veux simplement amener, a mon tour, le point qu’internet et ses plateformes sociales peuvent mener au meilleur comme au pire. L’homme a su inventer et mettre en place des moyens et des techniques pour se simplifier la vie. C’est grandiose. Profitons-en. Mais, à quel point ?
Est-ce que le fait d’être incessamment
connecté nuit à l’émerveillement (AKA, selon moi, la plus belle chose au monde)?
Nous « moule » dans un gabarit d’homo sapiens de moins en moins « naturel »?
Nous « moule » dans un gabarit d’homo sapiens de moins en moins « naturel »?
En chine, entre autre, des institutions
sont déjà mises en place en tant que lieu de
« désintoxication » car trop d’individus ont des dépendances
graves à leurs téléphones intelligents.
Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre pour démontrer à quel point, tout ça, c’est étourdissant. Et que, pour ça aussi, la modération a bien meilleur gout. Elle est où la ligne entre le fait d’être connecté et aliéné?
Selon moi, toute la notion de « moment présent » ainsi que l’idée de la pyramide de Maslow sont de nos jours redéfinis.
Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre pour démontrer à quel point, tout ça, c’est étourdissant. Et que, pour ça aussi, la modération a bien meilleur gout. Elle est où la ligne entre le fait d’être connecté et aliéné?
Selon moi, toute la notion de « moment présent » ainsi que l’idée de la pyramide de Maslow sont de nos jours redéfinis.
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