En ce
jeudi 25 mars 2014, la communauté internationale d’Oxfam, qui œuvre à mobiliser
le pouvoir citoyen contre la pauvreté, s’est réunit au Japon.
De
tel constat, ça amène à relativiser. De façon générale, le Québec est
confortable, stable, généreux. On vit dans la ouate, avouons-le. Ailleurs, ça
crie famine. Je ne pense pas être la seule a me sentir toute petite et
impuissante devant la situation relevée par Oxfam. Pourtant, chaque geste
compte, il faut que ça bouge!
Est-ce qu’on peut vraiment se permettre de procrastiner face a l’environnement?
Il
faut rappeler que : « La faim n’est pas une fatalité. Si les
gouvernements prennent des mesures contre le changement climatique, il sera
encore possible d’éradiquer la faim au cours des dix prochaines années et
d’assurer que nos enfants et petits-enfants pourront manger à leur faim pendant
la seconde moitié de ce siècle. »
De
plus, Oxfam estime que les couts en lien avec les besoins des pays pauvres en
matière d’adaptation s’élèvent à plus ou moins 100 milliards de dollars par an.
Cette somme, bien qu’elle puisse paraitre énorme, ne constitue que 5% des
richesses des 100 plus grandes fortunes au monde … C’est qui qu’on doit
« shaker? »
Si aucune mesure n’est prise, le
changement climatique pourrait avoir (entre autre) comme impact d’augmenter le
nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition à 25 millions en
2050. Mine de rien, il s’agit là du nombre d’enfants de moins de 5 ans que
comptent ensemble les États-Unis et le Canada.
Source :http://www.oxfam.org/fr
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