Je ne pense pas, être la seule à penser, cela, mais il me semble que le Québec a besoin de nouveaux visages en politique. J'ai comme l'impression que les Québécois en générale ont l'impression que les choses ne peuvent pas vraiment changer parce que ce sont toujours les mêmes qu'on voie à dire la même chose ou presque... Un vent de renouveau ne ferait pas de tort et c'est exactement ce que représente Catherine Dorion candidate dans Taschereau. Une femme avec un charisme fou qui n'a pas peur d'avoir un franc parlé sans être vulgaire et qui n'hésite pas à utiliser l'humour pour faire passer son message. Avez-vous vu le vidéo qu'elle a fait afin de parler de ses idées politiques? Si la réponse est non, je vous invite à le faire. C'est rafraichissant de voir une jeune femme qui prend la parole avec autant d'aisance disons que ça fait changement des publicités figées de Philippe Couillard... Je ne suis évidemment pas d'accord avec tout ce qu'elle dit dans la vidéo, mais sa personnalité m'a conquise. En terminant, je tiens à spécifier que ce texte n'est pas une publicité pour la dame, mais bien une découverte que je voulais vous partager.
Étes-vous d'accord avec moi? Le Québec a-t-il besoin de nouveau visage en politique?
Pour voir le vidéo de Catherine Dorion, candidate d'Option nationale:
https://www.youtube.com/watch?v=TaRtoAj4xTw#t=277
1 commentaire:
Les nouveaux visages sont signe de renouveaux en politique et les mêmes visages que l’on revoit peuvent soient nous rassurer soit nous faire perdre notre confiance en la politique québécoise.
Certains partis essaient de plus en plus d’inclure les femmes, de changer le monde de la politique, tandis que d’autres sont toujours dans le même «pattern» qui semble quand même être gagnant. La preuve est là quand nous regardons les sondages. Le PLQ qui est en tête de la course, à ce jour, à présenter une grande partie des candidats qui siégeait déjà à l’Assemblée nationale et qui même était sur le gouvernement de M. Jean Charest.
Alors, il faut se demander : pourquoi les partis changeraient leur manière de faire, si les électeurs prônent le changement, mais ne l’expriment pas le jour du vote ?
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