La question est complexe…
Existe-t-il une éthique sur les réseaux et/ou est-elle suffisante?
Un cas comme Wikileaks et son très médiatisé Julian Assange
(inspiration pour le film The Fifth Estate précédemment au cinéma) ou encore le cas de Snowden vient
soulever la complexité du sujet. Dans ce sens où l’éthique est mise à
rude épreuve par tous les acteurs : gouvernements & hacker. Selon
moi, Wikileaks (se donnant pour mission le partage et la liberté de
l’information) a transgressé l’éthique tout autant que le gouvernement
qui utilise les données des citoyens à son insu. La complexité du sujet vient de la contradiction qu’est la diffusion d’informations
confidentielles au monde entier et le danger qu’elle peut représenter
envers la sécurité des sources ou des simples citoyens mais d'un autre coté le droits des citoyens à leur vie privée. L’éthique sur
les réseaux est donc une situation difficile à encadrer puisque les
barèmes sont eux-mêmes peu définis. C'est bien ça le problème, internet est un peu comme un "no man's land" ou les plus expérimentés et aventureux y trouveront leur compte au dépit de la masse.
1 commentaire:
Je suis quand même d'accord avec ton point de vu. Par contre, si je peux y ajouter quelque chose, c'est que pour les fois où un gouvernement fait quelque chose qui peut être grave pour la société (ex: une loi limitant gravement les libertés) on se devrait de désobéir civilement. Ainsi, c'est peut-être ce qu'à fait Snowden. C'est par contre un sujet délicat et peser les pour et les contres demande plus que quelques heures de réflexions.
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