jeudi 5 décembre 2013

Le DEC en soins infirmiers


Une nouvelle parue récemment à propos du DEC en soins infirmiers à l’effet qu’il était aussi valable qu'un bac m’a bien fait réfléchir. Pour tout dire, mon amie d’enfance a fait une réorientation de carrière et elle fait présentement le DEC en soins infirmiers. Ce domaine m’a toujours passionné et c’est donc avec grand intérêt que mon amie et moi parlons souvent de sa formation et de ses stages.

Si vous saviez tout ce que ces étudiants peuvent accomplir en un trimestre c’est assez impressionnant ! Dans une technique, la place à la théorie semble moins importante, mais c’est pour donner plus de place à la pratique ! Dès leur première session, les étudiants se retrouvent dans un hôpital à faire de l’observation et à traiter leurs premiers patients. Je serais curieuse de voir au bac s’il en est de même. En tout cas, si je me fie au bac en communication, la pratique semble beaucoup moins importante que la théorie puisque le stage n’est pas un cours obligatoire et qu’il donne l’opportunité qu’à seulement une cinquantaine d’étudiants pour aller appliquer leur théorie sur le marché du travail.

Alors qu’est-ce qui est le mieux ? La théorie ou la pratique ? Selon moi, l’expression « apprendre sur le tas » pourrait facilement répondre à cette question, mais vous, qu’en pensez-vous ?

1 commentaire:

Catherine Théberge a dit…

J’ai aussi une bonne amie qui vient tout juste de terminer sont DEC en soins infirmiers. Elle est présentement à sa deuxième session universitaire et pour l’instant elle est extrêmement déçue des cours qu’elle doit suivre.

Comme tu l’as mentionné, le DEC est rempli de formation pratique. Oui, il y a aussi de la théorie, mais on mise beaucoup sur les stages pour montrer la réalité de l’emploi aux étudiants. Pour l’instant, mon amie ma mentionnée que ces cours à l’université ne faisaient que remâcher dans d’autres mots ce qu’elle avait déjà apprit lors de son DEC. Elle a véritablement l’impression de perdre son temps, mais désire tout de même terminer le BAC pour pouvoir monter des échelons à son travail.

Elle m’a aussi avoué avoir appris le plus grand de son travail lors de ses stages, mais m’a affirmé que la théorie se voyait tout de même nécessaire pour certaines bases très importantes.

Je suis une des personnes qui est très heureuse d’apprendre que le BAC en soins infirmiers n’est pas devenu obligatoire pour les infirmières. Je crois en effet que les coûts qu’apportent une formation universitaire ainsi que les deux années de plus d’étude ne sont pas nécessairement à la porter de tous et lorsque j’entends ce que mon amie me raconte du BAC je ne crois pas que celui-ci soit réellement nécessaire.