Ce matin, en lisant le journal j'ai été choqué par une nouvelle que j'ai vue sur cyberpresse. C'est un article concernant la violence conjugale et la mort d'une immigrée, Anuja Baskaran. De nombreuses fois, son mari est passé devant le tribunal pour violence. Ce dossier met en lumière un problème important qui n'est pas encore réglé: les particularités culturelles venant compliquer le travail juridique.
Il y a un problème à ce niveau là, car certaines femmes victimes de violence conjugale ne sont pas protégées suffisamment. La preuve en est que de nombreuses femmes, musulmanes en général, ne sont pas outillées pour aller chercher de l'aide et des méfaits allant jusqu'au meurtre ne sont pas peu courants.
Dans le cas d'Anuja, c'est après le troisième méfait qu'elle a vraiment eu de l'aide. elle a été hébergé dans un centre pour femmes et son mari a passé a nouveau devant la cours. Il a avoué tous les chefs d'accusations qui étaient porté contre lui. Pourtant, la femme a demandé et insisté pour que son mari ne soit pas détenu et qu'il revienne à la maison.
Cette demande a été acceptée et voyant ce que ça a donné aujourd'hui, ce n'était probablement pas la meilleure solution. Il est certain qu'en tant qu'occidentale je ne comprends pas la demande d'Anuja, car c'est sa culture et ses choix sont orientés par ça. Cependant le problème n'est pas là! Je ne trouve pas qu'accepter sa demande est admissible. Pourquoi l'ont-ils écouté? Ils savaient pourtant que cet homme était dangereux pour elle.
Je pense qu'il serait grandement temps de penser à une politique pour ces femmes là qui n'ont rien pour se défendre, même pas elles-même, car c'est ainsi qu'elles ont été élevées. Elles ont grandi dans une situation de faiblesse par rapport à l'homme. L'homme est dominant dans cette culture, il est celui qui décide de tout et à le pouvoir sur son entourage. Selon ces femmes, il est impossible de porter plainte, car elles ne sont que de simples femmes à la merci de leur mari.
Il est vraiment temps de faire quelque chose! Les immigrés ne sont pas si récents que ça dans notre société, on devrait les protéger autant que tous les autres québecois.
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