J’ai lu dernière que
des lois sont présentes en Europe qui permettent aux agents de police qui œuvrent
en temps qu’agents infiltrés qu’ils ont le droit de coucher avec les suspects d’une
enquête. Ce sujet à provoqué plusieurs débats à savoir s’il est éthique d’en
venir à ces actions pour dérober de l’information. « Les dames s’estiment trahies, les agents invoquent la loi
sur les pouvoirs de l’enquête qui les autorise depuis 2000, à avoir des
relations sexuelles dans le cadre de leur investigation ». (En ligne) Ce débat
a été soulevé lorsque l’une des femmes
avec qui un agent avait une relation à découvert son petit jeu.
Voici la question qu’on se pose sur les blogs : les espions
britanniques ont-ils le droit d’user de leurs charmes pour extorquer aux
suspects et suspectes des informations ultra-secrètes ? Les autorités ont
répondu que oui il est permis à ces agents d’avoir des relations avec les
suspects afin de garder leur couverture. Certains disent même que pour
faire parti d’un groupe, les nouveaux sont ainsi testés et il serait donc trop
facile de reconnaître un policier en service. Personnellement, je ne vois pas
le problème, je comprends bien qu’il s’agit de manipulation, mais avec un
peu de préjugé quand même, disons que si la personne fait partie des suspects
d’une enquête, je doute que la manipulation lui fasse beaucoup de mal.
Un exemple de ce genre d’infiltration que personne ne semble trouver
étrange est également mentionné. On parle de James Bond, cet agent qui ne se
prive en aucun cas de regarder et de profiter des jolies femmes. Est-ce accepté
seulement parce qu’il s’agit d’un film ? Cette réalité d’agent infiltré
est bien présente et leur vie peu normale est contrainte à plusieurs enjeux éthiques
comme celui-ci. Je n’ai toutefois pas trouvé d’information sur le sujet pour le
Québec et le Canada. Je serais curieuse de savoir dans notre pays jusqu’ à
quel point les agents peuvent être impliqué dans leur missions.
http://www.pointdevue.fr/blog/?2012/06/25
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