L’utilisation des médias sociaux est répandue
à travers l’Amérique.
Il n’est pas rare de voir les gens utiliser
Facebook pour faire de la promotion. Dans une journée on peut voir un ‘post’
sur un animal blessé, un phénomène étrange, une personne malade qui a besoin
d’argent pour recourir à des soins, des gens de pays éloignés qui veulent nous
offrir de l’argent, des concours de IPhone, etc.
Non seulement il y a des entreprises et des
organisations qui s’en servent pour se promouvoir, faire du marketing, faire
des concours, mais il l’utilise également pour aller voir le profil des gens qu’ils
prévoient engager.
Nous avons tous dans notre cercle d’amis
Facebook des amis qui publient des éléments qui ne devraient pas nécessairement
être rendus publics. Ces éléments peuvent leur nuire auprès des entreprises, mais
toute cette exposition peut avoir d’autres conséquences négatives.
L’utilisation de Facebook est devenue tellement banale que les gens ne voient
plus à quel point les informations qu’ils y mettent peuvent les nuire.
Maintenant, les
gens s’en servent également pour annoncer ou afficher des messages haineux, jugent
les gens et affichent des messages de violence.
Un article publié récemment par La Presse [1]: Facebook: des goûts morbides, mais pas alarmants, m’amènent à me demander jusqu’où, allons-nous, collectivement se rendre avant de réaliser que notre utilisation est malsaine. Devrions-nous en tant que société définir des normes d’utilisations ?
[1] Teisceira-Lessard, Philippe. 2014 http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/affaires-criminelles/201402/13/01-4738385-facebook-des-gouts-morbides-mais-pas-alarmants.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4738666_article_POS4
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