Je suis présentement sur le marché du travail à temps plein et il
est vrai que la performance au travail est ce qui fait la valeur d’une personne
dans une organisation. C’est souvent relié à un aspect de rendement, mais
l’évaluation de la performance inclut plus que la notion de rendement.
La performance au travail, c’est de planifier les attentes, les
objectifs et les priorités, c’est en faire le suivi, en faire l’évaluation et
donner soit de la reconnaissance ou faire réajuster les attentes. Pour une
entreprise : «Il s’agit d’une
activité clé qui est une source davantage concurrentielle et qui est inhérente
à la révision des critères de la performance et donc à l’amélioration continue.»
(Sylvie St-Onge, Sylvie Guerrero, Victor Haines et Jean-Pierre Brun., 2013 :
194)
Évidemment cela a pour but de tirer le meilleur de chaque employé
afin que l’entreprise puisse survivre dans un environnement des plus
compétitif. Est-ce qu’il a lieu de se questionner d’un niveau éthique sur l’évaluation
individuelle de la performance d’un employer?
Il y a toujours lieu de se questionner d’un point de vue éthique à
propos des processus organisationnels, particulièrement lorsqu’on le parle d’évaluer
un être humain. En fait, je crois que pour certaines personnes donner le
meilleur d’eux ou atteindre un objectif est une source de motivation. Il existe
dans plusieurs théories de motivation le concept du besoin de se réaliser, tel
que dans la théorie des besoins supérieurs de la hiérarchie des besoins de
Maslow. (John R.Schermerhorn, Jr., James G.Hunt, Richard N’Osborn et Claire de
Billy., 2010 : 135)
Sylvie St-Onge, Sylvie Guerrero, Victor Haines et Jean-Pierre Brun.
2013. Relever les défis de la gestion des ressources humaines. 4e
édition 431 Pages.
John R.Schermerhorn, Jr., James G.Hunt, Richard N’Osborn et Claire
de Billy. 2010 Comportement Humain et organisation. 4e édition. 588
Pages
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