Tori Spelling dans le Us Weekly |
Vous vous souvenez de Tori Spelling? Fille du défunt
réalisateur Aaron Spelling et connue pour son rôle dans la série Beverly Hills
90201, elle est maintenant dévouée à sa vie de mère. D’ailleurs, son petit
dernier, Finn Davey, est né en août dernier. Toutefois, ce n’est pas à cause
des joies de la maternité que vous avez peut-être entendu parler de l’actrice
ces derniers temps…
Juste à temps pour l’été, Spelling a enfilé son maillot
cette semaine afin de nous dévoiler son nouveau « Bikini Body » post grossesse
en couverture du magazine américain Us Weekly.
Ce qui me dérange le plus dans cette sortie, c’est la
photographie choisie qui, à mon avis, utilise ses enfants comme de simples
objets et qu’en tant que mère elle ait joué le jeu. C’est désolant de voir à
quel point les vedettes un peu hasbeen peuvent utiliser des moyens aussi
superficiels pour remonter leur cote de popularité.
Même qu’en général j’ai beaucoup de difficulté avec les
stars qui exposent leurs progénitures dans les différentes feuilles de chou
américaines. Une tendance qui s’étend de plus en plus ici, au Québec. Ces
enfants sont réduits à des outils marketing pour apaiser, d’un côté, la soif de
faire parler de soi et de l’autre, le voyeurisme d’une population aveuglée par
la célébrité.
C’est tout simplement malsain de faire baigner ses propres
enfants dans cet univers dès ce si jeune âge.
Quelles conséquences croyez-vous que cela peut avoir sur les enfants de stars?
1 commentaire:
Je suis tout à fait en accord avec ton billet. Ces célébrités vivent vraiment dans un autre monde. Ce qui est triste, c'est que ce n'est pas tout le monde qui comprend cela. N'importe quelle femme normale sur cette Terre ne peut arriver au même résultat que Tori Spelling. Elle ne s'occupe probablement pas de ses propres enfants, elle doit avoir un équipe de nutritionniste et d'entraîneur pour l'aider à retrouver ce soi-disant corps de rêve.
Bref, je crois que ce genre d'article ne fait qu'augmenter le stres social que subit la femme face à son apparence.
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