Dimanche dernier, le 21 octobre
2012, Fanny Britt était présente lors de l’émission « Tout le monde en parle ». Son interview m’a semblé
intéressante, c’est pourquoi j’ai décidé de faire une réflexion à partir de ses
idées.
Pour en faire une courte présentation, Fanny Britt a grandi
à Montréal et fait partie du milieu artistique en écrivant des pièces de
théâtre. Dans son interview, elle parle de sa dernière pièce « Bienveillance », une comédie basée
sur la bonté, et d’une bande dessinée « Jane, le renard et moi ». Il s’agit d’un récit
autobiographique mettant en scène une période de sa vie où elle a été victime
d’exclusion sociale. Elle dit avoir trouvé du réconfort dans l’amitié.
Lors de l’entrevue, elle évoque le fait que la beauté prend
trop de place dans notre société. La beauté nait de notre être, mais le corps
sert à faire des choses. Il faut qu’il puisse vivre et non pas toujours être
regardé. Nous sommes coupable de ce regard que nous posons sur autrui.
Combien de fois un regard ne vous a pas déstabilisé, rendu
mal à l’aise ou au contraire plus confiant ? Le regard a un pouvoir très
puissant qui n’est parfois pas estimé à sa juste valeur. Bien souvent, nos
actions vont être influencées par le regard des autres, par la pression qui
nous entoure. Il serait audacieux de dire que cela ne nous atteint pas. Avouons-le,
nous sommes donc bel et bien influençable. Mais il est tout de même important
de se détacher de ce dernier pour laisser place à notre réelle personnalité et
vivre pleinement en harmonie avec notre identité morale.
Plus facile à dire qu’à faire me direz-vous…
Plus facile à dire qu’à faire me direz-vous…
Pour visualiser l’entrevue :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire