lundi 9 avril 2012

On s’arrache le « monstre de Matane »


La nouvelle a fait surface la semaine dernière. Lors d’une chasse à l’orignal, un homme aurait blessé le monstre de Matane, mais n’aurait pu retrouver le corps de la bête. Selon les faits, le guide touristique aurait induit en erreur ses clients pour qu’ils ne puissent retrouver le corps de la bête. Pour vous mettre rapidement en contexte, cet orignal a un panache bien garni puisqu’il aurait pas moins de 60 pointes et représente une très belle vente à celui qui l’a tué. Selon la nouvelle, le tueur pourrait s’attendre à un gain dans les six chiffres.

Or, bien que la nouvelle soit déjà délicate, à savoir un conflit monétaire, quand est-il de la valeur humaine de la bête?
Avant de pouvoir tuer la bête, considérant son panache, aurait-il été préférable qu’une interdiction soit émise pour ne pas tuer cet animal? Il faut tout de même avouer qu’un animal de la sorte aurait pu facilement devenir un attrait touristique pour cette ville.

De la sorte, j’en suis venue à me demander s’il ne fallait pas considérer un animal, qui peut avoir des caractéristiques physiques exceptionnelles, non pas comme une décoration, mais comme un être vivant. Personnellement, je ne suis pas réellement en faveur des décorations avec des animaux empaillés ou présentant une partie de leur corps.

En somme, non pas qu’il y ait un énorme dilemme, mais je tenais à présenter une nouvelle qui rapporte davantage le côté monétaire que le côté humain.

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