Dictature de père en fils, voilà
la première chose qui met venu à l’esprit.
Kim Jong-il s’est éteint le mois
dernier après un règne qui a débuté dans les années 1994. Bien qu’il est mené la
République populaire démocratique de Corée (RPDC) d’une main de fer durant des
années, il n’était pas le premier considérant que son père lui avait remis le
flambeau lors de son décès. Nous sommes rendus en 2012 et l’histoire se répète
puisque Kim Jong-il lègue sa place à son fils Kim Jong-un.
D’un point de vue personnel, je
considère que cette dictature n’est aucunement avantageuse pour la population. Puisque
le poste occupé de père en fils est à titre de dirigeant, une certaine
déontologie doit être respectée. De la sorte, en regardant de plus près les
actes posés, il est possible d’affirmer qu’ils n’obéissent pas automatiquement
à de bonnes règles et qu’ils ne sont pas nécessairement animés d’une bonne intention.
Leurs actions ne sont pas le reflet d’une bonne déontologie.
Bien que cela soit mon point de vue
personnel, qu’en pensez-vous?
Voici le lien de la nouvelle relatant le décès de Kim Jong-il :
1 commentaire:
En effet, aucune forme de dictature n’est morale. En fait, le pouvoir doit dans tous les cas être partagé. La démocratie est fondée sur ce principe. Ce qui distingue la démocratie de la monarchie c’est ce principe fondamental du partage des pouvoirs. Pour ne pas abuser du pouvoir, il faut que le pouvoir puisse arrêter le pouvoir. Si on concentre le pouvoir dans les mains d’une personne, cette personne abusera de ce pouvoir. D’où l’importance de diviser les pouvoirs. Chacun de ces pouvoirs : législatif, judiciaire et exécutif a un rôle distinct. Quand on parle d’État de droit, on parle d’une société où tout est règlementé. Par exemple, le législatif a la fonction d’assurer que le gouvernement, qui a le pouvoir d’administrer l’État, légifère selon des principes qui ont été préétablis. Il faut qu’il y ait une certaine forme de contrôle du pouvoir. L’ensemble des activités des tribunaux dans une démocratie est primordial. Un pays corrompu où justice n’est pas rendu dans les normes est un pays qui n’est pas fiable. D’où l’importance d’avoir un système judiciaire qui est viable. Cette succession de Kim Jong-il à son fils Kim Jong-un est sans contredit antidémocratique. Ce lègue nous indique qu’il n’y a pas de partage des pouvoirs. D'abord nous pouvons supposer que son fils aura les mêmes convictions politiques que son père. Puis, la population ne peut contester cette décision. Le pouvoir est concentré à un ensemble restreint de gens et la population n’a aucun mot à dire, elle ne fait que subir.
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