Plusieurs études en lien avec les réseaux sociaux ont
déjà été réalisées, mais les dernières que j’ai lues étaient particulièrement curieuses.
Selon les études du Dr Alloway, psychologue de l’Université
de Sterling en Écosse, il affirme que certains réseaux sociaux amélioreraient
les facultés cérébrales. Plusieurs sites internet stimuleraient mieux le
cerveau de l’être humain. Fait étonnant : Facebook serait un meilleur
stimulateur pour le cerveau que Twitter. Pourquoi ? Facebook est plus stimulant
par ses interactions avec les autres utilisateurs, il exige donc d’une certaine
façon une activité intellectuelle plus importante que le site de Twitter. Le
docteur amène même une comparaison assez surprenante, il affirme que l’usage de
Facebook peut ressembler au jeu
Sudoku.
Dans un autre ordre d’idées, une étude menée par l’Université
de Georgie suppose que les réseaux sociaux pourraient devenir un semblant d’outils
pouvant évaluer le degré de narcissisme des gens. Pour mener l’enquête, deux psychologues
ont étudié le site de Facebook rassemblant plus de 500 millions de membres.
Dans le même sens, une autre École a entrepris une étude sur Facebook et l’émotivité
ressentie par les utilisateurs dans la « chasse aux nouveaux amis ». Quant à
elle, Laura Buffardi, étudiante en Doctorat de Psychologie est catégorique sur
ce fait : « Les narcissiques s’approprient Facebook pour se faire leur
promotion aux yeux des autres ».
Les résultats de la présente étude ont montré que le
taux de narcissisme dépend du nombre d’amis qu’ils possèdent et des
publications sur leurs murs. Laura Buffardi a également observé chez les
concernés, une tendance aux amitiés peu profondes et un choix de photos plus «
glamour » que chez la plupart des autres membres. En d’autres mots, les
narcissiques de nature utilisent Facebook pour se mettre de l’avant. Là où réside
le problème, est qu’ils finissent par nuire aux autres et finalement à eux mêmes.
Les utilisateurs de Facebook trouveraient principalement leurs plaisirs dans «
la chasse aux nouveaux amis » et à la quête d’une nouvelle existence virtuelle.
Si on se fit à ces deux études, d’une part, Facebook
apporterait des bienfaits pour le cerveau par la stimulation. Mais d’un autre côté,
il pourrait influencer le niveau de narcissisme chez les individus à prédominance
narcissique.
Pour ma part, je demeure sceptique face aux deux études
présentées précédemment.
Et vous? Y croyez-vous ?
Lebel, C. « Facebook,
un bon stimulant intellectuel ! » Zurbains. En ligne.
28 septembre. http://www.zurbains.com/sante/conseils-sante/facebook-un-bon-stimulant-intellectuel.html
Consulté le 5 décembre.
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